mercredi 29 octobre 2008

Ajaaj receives interest from international television channels

This is the first time ‘Ajaaj’ will be revealed to a UAE audience in his new incarnation.

Watani Program recently forged a new partnership with Blink Studios, a leading Dubai-based animation production house, to develop and produce an animated version of Ajaaj suitable for broadcast as a televised cartoon series.

Local and international comic book lovers will be able to view a trailer of the new Ajaaj series at the Watani stall of Character Dubai. Mohamed Baharoon, Deputy Director General of Watani also gave a presentation on the evolution of Ajaaj in front of international character and licensing experts at a seminar held yesterday at Character Dubai.

The success of ‘Ajaaj’, which was created in 2007 by the Watani Program to serve as a communication tool aimed at sharing the UAE values and heritage with the nation’s children, presents a great opportunity to introduce the values of UAE heritage and culture to children worldwide in an entertaining and familiar format.

‘Ajaaj’ recently attracted unprecedented praise from major international children’s television networks when it launched its concept for a television series at MIPCOM, a global content event held in Cannes.


“We are proud that Ajaaj can compete on the same playing field as other superheroes produced by comic book giants, in terms of core values and intellectual content. We are hoping characters such as Ajaaj will open the door for other more effective methods to communicate with the world, especially because we live in a society that really has to project a more positive image about Arab civilization.”
says Ahmed Al Mansoori, Director General of Watani.

An Ajaaj television series is expected to launch on local and international television channels in 2010 as a leading Arabic series. The Watani program is currently developing strategic partnerships with international broadcasting networks, licensing and distribution companies.

dimanche 12 octobre 2008

Alger se remet aux bulles - Le premier Festival International de la BD s'ouvre mercredi

C'est une manifestation d'une ampleur inédite que s'apprête à accueillir la capitale. L'occasion de donner un coup de jeune à un IXe art jadis florissant dans notre pays. 


C'est un comité d'organisation aux prises avec des aléas de dernière minute qui a fait face à la presse, hier, au cercle Frantz-Fanon, à Alger. Mais Dalila Nedjam, commissaire du festival, entourée des principaux responsables, a rassuré sur l'essentiel. “Tout est fin prêt, à l'exception des programmes qui vous seront remis cet après-midi ou au plus tard demain matin”, affirme-t-elle posément avant d'entrer dans le détail du fameux programme.
Les chiffres donnés par la commissaire sont éloquents : 27 pays participants derrière l'Inde, invitée d'honneur, 98 dessinateurs, 4 compétitions (jeunes espoirs, jeunes talents, professionnels, professionnels internationaux), 12 films d'animation en projections, 1 colloque, 6 conférences, 1 hommage, 11 expos… Le Festival international de la BD d'Alger se veut un rendez-vous d'envergure. Un rendez-vous à la double vocation : honorer ou gratifier les anciens, les pionniers des années 60-70-80, Melouah, Slim et les autres, auxquels une exposition permanente et itinérante est consacrée : ouvrir la voie à une nouvelle génération, lui permettre de se faire connaître et de fréquenter ses pairs dans le monde. Mustapha Nedjaï, directeur artistique du festival, s'est d'ailleurs dit soufflé par la qualité de certains travaux remis, et s'affirme “tranquille pour l'avenir”. Sur le choix de l'Inde comme invitée d'honneur, le directeur des relations publiques du festival, Abderrahmane Djelfaoui, met en avant “la découverte” plutôt qu'une tradition comme peuvent en posséder certains pays, des comics chers aux USA aux mangas made in Japan, en passant par la célèbre BD belge. Mais ces pays-genres seront largement présents lors des grandes expositions prévues. Le continent africain aura également son expo et sa conférence, signe d'un dynamisme non démenti.
Bien sûr, comme tous les festivals, celui-ci aura ses stars, notamment dans le jury international : on annonce l'arrivée du critique d'art japonais Ilan Nguyen, des bédéistes Ptiluc (France), Etienne Schreder (Belgique) et Chritophe Badoux (Suisse), mais aussi des Algériens Rachid Boudjedra, Djilali Biskri, du caricaturiste Le Hic ou encore le bédéiste Mohamed Arram. Ce dernier fera d'ailleurs l'objet d'un hommage spécial puisque le premier Prix Melouah devrait lui être remis pour l'ensemble de son œuvre.
Autre particularité de ce festival, son “rapport à l'espace”, comme le disait en aparté un des membres du jury. Ce sont pas moins de dix lieux, dans la capitale, qui devraient porter les couleurs du FIDBA. Ses planches devraient tapisser les murs du palais de la culture Moufdi-Zakaria au Mama, en passant par le Bastion-23, les classes de l'Ecole des Beaux-Arts… Enfin, le comité d'organisation a également profité de l'occasion pour révéler les noms des lauréats des concours “espoirs scolaires” et “jeunes talents”. Abdiouène Takfarinas de Kouba et Djamel Bouchenaf de Belcourt sont repartis respectivement avec 80 000 et 200 000 DA. Espérons qu'il ne s'agit là que de leurs premiers prix.
Pour les autres, rendez-vous mercredi soir à l'esplanade de Ryadh El-Feth, pour le spectacle “son et lumière” d'ouverture et fêter ainsi dignement le retour du 9e art dans notre pays.
R. A.

1er Festival international de la bande dessinée d'Alger, du 15 au 19 octobre 2008. Programme plus complet sur le site : bdalger.net. Toutes les activités sont gratuites. 

Par Rachid Alick - Source de l'article Djazaïress

samedi 11 octobre 2008

Campus Ubisof - Première école de jeu vidéo au Maroc



Trois en un. Marocains, Canadiens et Français lancent le Campus Ubisoft. Première école de formation pour jeu vidéo au Maroc.

C'est la société du même nom qui compte parmi les plus gros éditeurs mondiaux d'animation 3D qui chapeaute le projet. Elle est installée à Casablanca depuis 1998 et compte 65 salariés. Ubisoft, lors de son 10e anniversaire, avait même annoncé de passer à 200 développeurs d'ici trois ans. 
Le lancement de Campus Ubisoft confirme cette stratégie: une matière grise locale performante à un coût concurrentiel (formation et salaires). Dès octobre, l'école ouvrira ses portes. Quant à la sélection des futurs étudiants, «elle débute à partir de juin», précise Cyril Vermeil DG d'Ubisoft Maroc. Deux critères sont déterminants: Technicité informatique et créativité artistique.

Positionnement
Le Campus va s'implanter à l'Institut polytechnique, dans les environs de la route d'El Jadida. Ce sont les Québécois, Cégep de Matane, qui vont assurer le rôle de coordinateur pédagogique. D'autres partenaires académiques sont mis à contribution: l'Université Al Akhawayn et l'École nationale du jeu et des médias interactifs numériques d'Angoulême, basée en France. La formule du financement est alléchante. Les frais de formation seront pris en charge par l'Anapec et Ubisoft. En contre partie, «les lauréats seront payés à 5.000 DH par mois durant la première année d'embauche», précise-t-on. Un stage de formation de 6 mois, payé au Smig, complétera la formule. C'est «un modèle mixte qui regroupe formation technique et universitaire», soulignent les fondateurs. Au menu, programmation à l'animation et modélisation 3D, design, conception de niveaux de jeu. Même la gestion de projets est prévue.

Le positionnement d'Ubisoft à Casablanca ne doit pas surprendre. Ses troupes marocaines ont déjà fait leurs preuves en créant, en novembre dernier, un jeu vidéo à 100% made in Morocco. Ceci a nécessité à son équipe à peine 9 mois et 16,5 millions DH. Une prouesse lorsqu'on sait que le coût de production d'un jeu vidéo peut «atteindre les 220 millions de DH et exige en moyenne un an de travail». Nos développeurs ont une autre performance à leur actif, plus actuelle. La conception et la pré-production du dernier long-métrage «Prince of Persia». Son tournage, piloté par les studios Disney, a récemment démarré à Ouarzazate. C'est «la première fois qu'un film de cette envergure est basé sur un jeu vidéo», avait déclaré le DG d'Ubisoft Maroc.
Le Maroc va-t-il saisir sa chance: un hub industriel de l'animation 3D? Cette opportunité d'investissement est symbolisée par la convergence du cinéma avec le jeu vidéo.

L'éventuelle signature d'un mémorandum pour une industrie 3D fait son chemin. De sources sûres, «des discussions ont été tenues dans ce sens, lors d'un récent voyage à Paris, entre le ministère des nouvelles technologies, les tops managements de Casanearshore, et de la CDG», avec des représentants du secteur en France. N'empêche que notre gouvernement doit se remuer. L'Inde a déjà investi ce filon: à Poona, au Sud- est de Bombay, l'achat à la mi-avril du studio indien de Gameloft par Ubisoft le confirme. C'est la première acquisition du genre en Asie du sud-est.
Source de l'information Intic

jeudi 9 octobre 2008

Disney To Bring Storytellers To Middle East

Disney is in the midst of advanced negotiations with Lebanese director Chadi Zeneddine to finance and produce Arabic-language feature THE LAST OF THE STORYTELLERS, per VARIETY.

Résultat de recherche d'images pour "logo disney"This is Disney's first feature in Arabic, and the start of a push to move into the region, which has a population of 300 million people, with two-thirds under the age of 30. It's expected that Disney will announce two additional Arabic-language features in time for the fifth Dubai Film Festival in December.

STORYTELLERS, also produced by Rachel Gandin, will likely start production toward the end of 2009 and will draw upon Arabic folklore traditions for its storyline.

"There's a lot of opportunity for us in the Middle East," a Disney exec told VARIETY, who insisted on anonymity. "There's a lot of room for growth for us. It's the international territory that we're most excited about expanding into."

By Awn