mercredi 24 septembre 2014

Le marché du jeu vidéo africain évalué à plus de 300 milliards Fcfa

Selon un rapport publié par le cabinet Price Waterhouse and Cooper, a coté de l’Internet (9%), la croissance la plus rapide dans le domaine du numérique africain se fera dans la catégorie du jeu vidéo (8.2%) dans les années à venir.


Le jeu vidéo n’a pas encore trouvé ses lettres de noblesse en Afrique. Toujours considéré comme un passe-temps pour adolescents boutonneux ou adultes qui refusent de remettre leur casquette dans la bonne direction, selon Vicki Myburgh du bureau sud-africain de PwC « Les jeux vidéos ont réussi une transition formidable dans le monde du digital en Afrique, et ce principalement grâce à la popularité du Mobile Gaming (jeux sur mobiles) mais aussi grâce au potentiel non négligeable que représente la distribution digitale des jeux pour consoles« .

Il est à noter que l’étude présentée par le cabinet PWC prévoit qu’en 2018, 27% des revenus du monde des jeux vidéos proviendront de la distribution digitale, remplaçant les supports physiques par du contenu téléchargeable.

Supportant cette thèse, un rapport publié récemment par le cabinet de recherche NewZoo spécialisé dans le jeu vidéo évalue les 10 marchés principaux du continent à plus de 300 milliards de Fcfa. A la tête du classement, le Nigeria (33eme mondial) représente à lui tout seul un marché d’une valeur de près de 180 millions de dollars.

La vulgarisation des terminaux intelligents sur le marché africain et l’augmentation exponentielle des spécifications de ces derniers, signifie que bientôt, la majorité des africains disposeront de téléphones capables de proposer des jeux de la qualité des consoles de salons de deuxième ou même troisième génération. Un domaine à suivre de près.

Par Sadibou Sow - Source de l'article AfriqueITNews.com


lundi 22 septembre 2014

7ème édition du Festival International de la Bande Dessinée d’Alger – FIBDA

Le FIBDA, s’est créé une identité au fil des ans. C’est un festival de partage et de résistance. Les échos récoltés auprès des invités à l’issue des éditions précédentes (2008-2013), vont tous dans le même sens :

″choc, découverte, envie de participer, enthousiasme pour un festival qui n’a pas d’équivalent″.

″Nulle part ailleurs cette idée de partage n’est aussi présente″.
″Nous sommes loin des foires commerciales à l’Européenne, où les bédéistes ne sont là que pour dédicacer leurs livres à la chaîne″.

Il est essentiel de poursuivre le travail dans cette direction.
Pour démontrer sa vitalité, le festival se tiendra en synchronie dans plusieurs quartiers d’Alger mais aussi dans deux autres villes du pays. La continuité dans les actions engagées et le suivi de leur évolution constitueront la base des objectifs que chaque année nous nous donnons.
Le FIBDA VII restera un espace de production artistique ouvert à toutes les démarches sincères et engagées ainsi qu’à toutes les disciplines actuelles, contemporaines et populaires.
Le slogan : « Le Mondial des Bulles à Alger »

Pourquoi ce slogan ?

On l’appelle « quadrinhos » en portugais, « manhua » en mandarin, « comics » en anglais, « historietas » en espagnol ou « fumetti » en italien, la bande dessinée est un phénomène planétaire. Pourtant il existe peu d’endroits où les bédéistes des cinq continents peuvent se rencontrer, montrer leurs travaux et découvrir ceux d’autrui dans un cadre privilégié. Depuis sept années, le Festival international de la bande dessinée d’Alger offre cette zone de contact unique au monde. Des collisions entre les différentes traditions de l’image dessinées naissent de nouveaux projets et de nouvelles envies dont les premiers témoins et bénéficiaires sont le public et les créateurs algériens.
Le pays à l’honneur : Le Brésil
Alors que la coupe du monde de football va braquer les médias sur le Brésil, il est temps de proposer aux visiteurs du FIBDA de découvrir ce pays et sa bande dessinée. Pour cela la série « Monica » créée par la légende vivante des « quadrinho » (bande dessinée en portugais), Mauricio de Souza est incontournable.
Le thème :
Le FIBDA 2014 se doit de donner une place à des artistes qui ont su livrer des récits soit personnels, soit de reportages, cela revient à développer la culture du quotidien et du vécu grâce au 9ème art.
Les dates :
Du mardi 23 au Samedi 27 Septembre 2014

Inauguration le Mardi 23 Septembre à 15h00 et clôture le samedi 27 Septembre à 19h00
Ouverture au public le mercredi 24 Septembre à partir de 10h00

Le lieu :
Le FIBDA reste concentré sur l’Esplanade, ce qui conforte l’identité du festival.

Mais aussi des activités ponctuelles se réaliseront dans deux quartiers populaires et dans deux écoles du centre ville.

Source de l'article Radiohchicha

      

vendredi 19 septembre 2014

Une BD purement « Tounsi »

Pendant la dernière foire du livre, un groupe de dessinateurs ont installé un stand devant la porte d’entrée, proposant aux passants une BD « moins chère qu’un makloub ». Le « Lab619 » était à ce moment-là à son deuxième numéro.
 
 Quatrième numéro de Lab619
Une BD purement « Tounsi » 
 En juillet 2014, le quatrième numéro est sorti, marquant un tournant dans cette expérience autogérée et autofinancée. « Le magazine a finalement défini sa personnalité et ses choix », nous raconte Need All, dessinateur et coordinateur du projet. « Auparavant distribué dans plusieurs librairies en Tunisie, nous avons opté pour une distribution réduite et de multiplier les rencontres-dédicaces avec le public », ajoute-t-il.
Après le 14 janvier 2011, les plumes des dessinateurs se sont libérées. Avec une quinzaine d’entre eux, le collectif Koumik est né, publiant en octobre de la même année un livre sur les élections. Presqu’un an plus tard, ils se sont revus afin de réfléchir à une suite à cette aventure. « A part les magazines qui ont bercé notre enfance, comme « Kaous Kouzah », il n’y avait rien en matière de BD en Tunisie », raconte Need All. Cette rencontre a donné naissance à « Lab619 », une BD pour adultes qui se veut un laboratoire expérimental pour ses faiseurs, avec une appellation annexée du code à barres tunisien. Mais, surtout, le prix de cette BD ne doit pas dépasser celui d’un « makloub escalope » (sandwich tunisien populaire), pour être autant accessible pour les Tunisiens.
Dans ce quatrième numéro, des coups de crayon aux personnalités différentes s’expriment en arabe, en français, en anglais et en dialecte tunisien. « On se rapproche de nos lecteurs grâce au tunisien et cela donne des histoires qui lui ressemblent», raconte Need All. L’édito du Lab619 est d’ailleurs en tunisien. Les BD, sur divers thèmes sociaux, culturels et politiques d’actualité, se déclinent avec des dialogues où l’humour n’a pas froid aux yeux. Leurs auteurs, tous passionnés de BD, ont entre 12 et 60 ans. Grâce à cette expérience, certains d’entre eux se sont lancés dans leurs propres projets.
L’aventure a été passionnante mais pas de tout repos. « Nous avons, ensemble, beaucoup appris et découvert tant de nouvelles choses sur le monde de la BD, comme le métier de scénariste », nous déclare Need All. La sortie des premiers numéros a été ponctuée d’événements marquants : l’assassinat de Chokri Belaid et puis celui de Brahmi. Il fallait trouver l’énergie pour continuer. Certains sont partis, d’autres sont restés et pour ces derniers, il fallait marquer le coup, poursuivre… Le troisième numéro est sorti avec une nouvelle vision, qui privilégie la rencontre avec le public. Le quatrième n’y a pas dérogé. Depuis sa parution, des séances de dédicace ont eu lieu. Le Lab619 a participé à différents événements, et prendra part au Bazar de la galerie Agora le 13 septembre.
L’engouement pour ce livre d’images dépasse nos frontières. Need All nous explique, en effet, que le Lab619 reçoit des propositions pour exposer en Europe. La BD attire la curiosité de chercheurs et d’universitaires étrangers, travaillant sur la transition en Tunisie, nous apprend-on. « Notre objectif est de transmettre cette expérience à d’autres », nous assure Need All. Il est convaincu que l’heure du retour du 9e art en Tunisie viendra. « Il faut créer le marché. Les jeunes Tunisiens achètent la BD étrangère, alors quand l’offre locale atteindra le niveau, ils l’achèteront », résume-t-il.
Par Narjès TORCHANI  - Source de l'article La Presse

jeudi 18 septembre 2014

Egypt Comix Week: promoting the art of comics in Egypt

A series of events in Cairo and Alexandria, between 22 and 27 September, will promote and celebrate the art of cartoons and comics in Egypt

comics

The first edition of Between Cadres (BECA) – Egypt Comix Week – which will take place between 22 and 27 September across Cairo and Alexandria, is the first large scale event in Egypt dedicated to comics.

Organised by the Goethe and French institutes, Safsafa Publishing House and supported by the Delegation of the European Union to Egypt, the week will include many activities with participation by artists from Egypt, Germany and France. Exhibitions, workshops and lectures, and meetings between artists and publishers are among the highlights of the event.

"The goal of Egypt Comix Week is to promote the art of comics in Egypt," commented Mohamed El-Baaly, founder and director of Sefsafa, as well as the main dynamo behind BECA.

Comic drawings in Egypt are often identified with comic strips targeting children. This, however, does not mean that this art form does not have its own stars who have managed to have a big impact on consecutive younger generations.

A number of Egyptian names are considered the founding fathers of this art form in the country and the region. Mohieddine Ellabbad (1940-2010) was dedicated to comics, with works appearing in several Egyptian publications, in magazines such as the weekly Sabah Al-Kheir and Sinbad the Sailor, published by Dar Al-Maaref.

Another well-known cartoonist, Ahmed Ibrahim Hegazy (1936-2011), is remembered for his highly critical eye, which he did not temper even when drawing for Sameer, a comic magazine for children released by the Dar al-Hilal Publishing.

Equally, artists such as Michel Maalouf and Fawaz, dedicated a big part of their work to children's comics, publishing in periodicals such as Egypt's Alaa ElDin, Magued (UAE) or Bassem (Saudi Arabia). 

However it was only since the late 2000s, that comics took a new turn. Paralleling the comics for children, Egypt saw an – at first slow – emergence of comics for adults, whether translated or created locally.

"In recent years, a new generation of artists dedicated to comics made their way into the headlines. They are paralleled by the publishers and the readers whose interest in this art has been only amplified after the success of several comics for adults, such as Toto," El-Baaly continues. Indeed, since 2011, several similar initiatives have emerged, among which not many have managed to survive.

In recent years, TokTok magazine, created by Magdy El-Shafei, El-Shennawy, Hesham Rahma, Tawfik and Andil, was the most striking feature of the Egyptian comics scene. The first issue, which was launched prior to the revolution, was entirely funded by its creators. It proved very successful and stayed in the readers' minds, overshadowing the less compelling second issue published in 2011.

TokTok, a name borrowed from Indian tricycles that have invaded the streets of Cairo in the recent years, dissected Egyptian society and provided an insight into the complexities of the Egyptian soul. TokTok won second prize for best independent comic magazine at the International Festival of Comics of Algeria (FIBDA).

"Young people are looking for forms of expression that represent them, and they find it in comic strips such as TokTok," notes Haytham Ramadan, 28, a cartoonist and consultant for Egypt Comix Week.

As such, the first Egypt Comix Week becomes an opportunity to make an interesting revision of the status of Egyptian comics today.

"We selected 20 participants – ten amateurs and ten professionals – who will engage in discussions and workshops held by the German and French cartoonists," Ramadan adds.

Among the foreign guests, Egypt Comix Week will feature Isabel Kreitz and Barbara Yelin from Germany, alongside Marc-Antoine Mathieu and Jean-Marc Troubet (better known under the pseudonym Troub's) from France.


Moreover, an exhibition dedicated to Egyptian artists, Fawaz and Maalouf, will be on display. This is a tribute to the veterans of art, the big names who have given the basis to the young generation of comic artists. It is also a paradox that the same masters of the comics field have not been able to publish freely due to the political regime which remained strongly critical of cartoonists, as was the case under Anwar Sadat, when El-Labbad and Hegazy shifted to creating comics for children and publishing them in Gulf magazines.

It is still not clear if the margin of freedom in Egypt will curb the momentum that is still in its infancy, and what the future of comics in Egypt will be.

We still remember the destiny of the first Egyptian graphic novel by Magdi Al-Shafei, Metro, released in January 2008.

In Metro, the author created a dark image of poverty and corruption under the Mubarak regime. Metro was banned upon its release and its copies were confiscated for "undermining the moral order."

El-Shafei was subject to the Article 178 of the Penal Code which criminalises publishing or distribution of any publication that violates public decency. After intervention from the Hisham Mubarak Law Centre, which defended his case in court, El-Shafei was landed with a LE5,000 fine and his book remained banned.

Check the complete programme of Egypt Comix Week  here

By Najet Belhatem - Source Ahram

mercredi 17 septembre 2014

Alger- Au programme du FIBDA 2014

La 7ème édition du Festival International de la Bande Dessinée d’Alger (FIBDA) se déroulera dans moins d’une semaine, et le programme de la manifestation s’est dévoilé aujourd’hui.
Avec pour thématique « Le Mondial des Bulles » et comme pays d’honneur le Brésil, le FIBDA promet un programme éclectique du 23 au 27 septembre.
Expositions, ateliers pour enfants, conférences, rencontres et autres projections seront comme toujours au menu des visiteurs, avec la mise en valeur d’éditeurs nationaux. Parmi les rencontres et expositions à retrouver durant cette 7e mouture, citons :  » «Unkown Soldier», un comics au cœur de l’Afrique », « Bulles d’Exil » et « Taïwan, île singulière ».
Le prix d’honneur de cette édition ira à Djillali Defali, dessinateur et illustrateur franco-algérien, connu pour son implication dans le projet vidéo-ludique« Assassin’s Creed ».
Cette année, les concerts et les projections seront limités en nombre. « Frozen », le succès planétaire, sera projeté les 26 et 27 septembre à 15 h au niveau de la salle de projection du grand chapiteau, tandis que le documentaire « Bulles d’Exil » sera à l’affiche la veille, à la même heure.
En soirée, les concerts débuteront à 19h, avec Ouled El Hadj Maghnia sur scène le 23 septembre, le groupe Essed le 25 et Gyps le 26 septembre.
Le programme complet du FIBDA 2014 ci-dessous : 
FIBDAprog

progFIBDA
Source de l'article Vinyculture

dimanche 14 septembre 2014

Alger – Workshop de bande-dessinée durant le FIBDA

L’institut culturel italien d’Alger organise un workshop de bande-dessinée, animé par l’illustratrice Laura Scarpa, durant la 7ème édition du festival international de la bande-dessinée d’Alger, prévue du 23 au 27 septembre.

Prévu dans le cadre de la nouvelle édition du FIBDA, le workshop de bande-dessinée, organisé par l’institut culturel italien d’Alger, aura pour thème « Le dessin en tant qu’expérience émotionnelle » et se tiendra le vendredi 26 septembre de 14H à 16H.

Animé par la dessinatrice Laura Scarpa, ce workshop vise à initier les amateurs de BD au dessin afin que celui-ci puisse parfaitement être relié au récit, et ainsi transmettre l’idée souhaitée par l’illustrateur au lecteur.

Avec pour thématique « Le mondial des bulles à Alger« , la septième édition du Festival international de la bande-dessinée d’Alger (FIBDA) aura pour invité d’honneur le Brésil et se tiendra, comme pour les éditions précédentes, au niveau de l’esplanade Riadh El Feth et ce, du 23 au 27 septembre.

Source de l'article Vinyculture

lundi 1 septembre 2014

Appel à participation aux Journées du film d'animation d'Alger - La 3D en vogue

Cette manifestation fera connaître les oeuvres produites au niveau local et encouragera par la même occasion les jeunes talents à se lancer.

La 3D en voguePrévues du 8 au 11 janvier prochain, les Journées du film d'animation d'Alger lance un appel à participation aux artistes algériens spécialisés dans la 2D et l'animation. Tout(e) artiste algérien(ne) ayant déjà réalisé une animation en 2D ou 3D, quel que soit le domaine (dessin animé, film d'animation, film scientifique, film d'entreprise, clip publicitaire ou clip artistique est sollicité pour prendre part à cet événement. 
Pour ce faire, il suffit d'envoyer l'oeuvre réalisée accompagnée d'une mini-biographie de l'auteur(e) à l'adresse email mezianim@hotmail.com et ce, au plus tard le 3 janvier prochain.
Les lauréats seront connus et récompensés lors de la journée de clôture. Parmi les prix offerts aux vainqueurs, notons celui consistant en une formation diplômante dans le domaine de l'animation.
Etrennées du 8 au 11 janvier au niveau de l'Office Riad El Feth, les Journées internationales du film d'animation feront connaître les oeuvres produites au niveau local et encourageront par la même occasion les jeunes talents à se lancer. Pour en savoir plus, sachez que le bureau du commissariat des Journées du film d'animation d'Alger est situé au Centre socioculturel de l'Office Riadh El Feth. Cette manifestation fait suite sans doute à la première édition qui avait eu lieu l'an dernier et qui avait suscité un engouement appréciable de la part des professionnels du domaine, tout en invitant des étrangers pour le compte de l'encadrement. Le film d'animation, qui est en plein essor en Algérie a une place de choix dans le cadre du Festival international de la bande dessinée qui connaît des ateliers et des workshops dans ce sens, animé et encadré grâce à la boîte Dynamic Art Vision très active dans le domaine et qui continue à former des jeunes dans ce sens y compris des artistes venus de pays autres comme le Burkina Faso et le Cameroun, l'Afrique étant le centre névralgique du travail d'animation entrepris depuis quelques années par cette même entreprise qui a de plus en plus la cote hors de nos frontières. Dynamic Art Vision reçoit continuellement des stagiaires dans les différentes spécialités de l'entreprise et organise bénévolement des ateliers de formation à l'intention des jeunes talents. 
Ainsi, et depuis quelques années, Dynamic Art Vision se distingue par l'excellence de sa présence auprès des participants et organisateurs d'événements phares en Algérie, tels que le Festival du film amazigh et le Festival international de la bande dessinée (Fibda). Aussi, Dynamic Art Vision s'est lancée en 2010 dans la production de dessins animés et son premier produit est la série Papa Nzenu Conte l'Afrique. Une série de 52x13 mn en film d'animation, chaque épisode raconte une histoire ou un conte appartenant à un pays africain et chaque épisode est réalisé par un jeune réalisateur du pays d'origine.
Invraisemblablement riche en couleur, en formes et en sons, l'Afrique nous révèle toute sa sagesse à travers son oralité que le griot Papa Nzenu nous conte à chacune de ses haltes dans une ou des régions de l'Afrique.
Cette série de dessins animés est dédiée à la sagesse des Africains et à la culture de l'Afrique.
Le chasseur et l'antilope, premier épisode pilote de la série a été élu meilleur film d'animation à la nuit du court métrage au Cameroun. Depuis, la boîte Dymanic Art Vision n'a de cesse de récolter des prix ici et là. En plus de sa valeur culturelle, l'animation en 3D revêt une valeur marchande économique certaine pour le pays grâce, notamment aux simulations dont peuvent bénéficier les scientifiques pour éviter, par exemple, les catastrophes naturelles.
Néanmoins, ça reste un domaine encore peu exploité en Algérie et c'est fort dommage..

Source de l'article l'Expressiondz