mercredi 27 avril 2016

Open world game development studio from Saudi

Saudi Studio development "Semaphore" announced a new project an open world game , having previously gave us a game Action "concentrate the impact of bin Battuta."


"Badiya" is an open world game set in the desert of the Arabian Gulf and allows the player wander and explore and find various resources, as well as support the patterns of collective and cooperative game next phase of the story.

The game first issued through early access shop Steam service while the final version for home entertainment devices Xbox One and PS4 are also available.



dimanche 24 avril 2016

Algeria Game Challenge de retour

Le concours Algeria Game Challenge est de retour cette année dans sa 6ème édition. La finale se déroulera demain au niveau du cyber-espace de l'Université des Sciences et de la Technologie Houari Boumediene de Bab Ezzouar.


Avec pour thème " les jeux d'aventure ", Algeria Game Challenge réunira en l'espace d'une matinée tous les passionnés du développement de jeux vidéo en Algérie, qu'ils soient experts ou simples amateurs.

Les candidats ont du faire preuve d'imagination afin de concevoir et de développer un jeu en 2 ou 3 dimensions qui répondra à la problématique de cette année et qui devra s'adapter à l'une des plateformes Windows, Linux, Android ou Windows Phone. Les 8 projets finalistes seront présentés demain à un jury composé d'experts qui élira les grands gagnants.

Organisé par le club scientifique Micro Club, AGC 2016 compte de nombreux partenaires et sponsors, à l'image de l'opérateur Mobilis.

Source de l'article Nticweb

vendredi 22 avril 2016

Le Maroc et la Tunisie se font remarquer aux MENA Games à Beyrouth

L’industrie des jeux vidéo au Moyen-Orient et en Afrique du Nord grandit vite. Plus de 40 startups gaming d’Europe, MENA et Turquie ont pris part la semaine dernière à la MENA Games Conference à Beyrouth pour discuter de très nombreux sujets allant de la publication des jeux vidéos à leur monétisation en passant par les spécificités des différents marchés de gamers.



Voici huit choses que nous avons apprises.

La Turquie est un des plus gros acteurs soutenant l’industrie des jeux vidéo

L’industrie des jeux digitaux turque a récolté un total de 464 millions de dollars en 2015. Selon un rapport publié par la Turkish Game Developers’ Association, cela représente une partie non-négligeable des 91 milliards de ce marché au niveau mondial.

« La plupart des entreprises gaming qui réussissent en Turquie ont commencé en se concentrant sur leur marché local puis se sont tourné vers le marché MENA » explique Barış Özistek, PDG de Netmarble EMEA lors du panel sur les éditeurs.

Özistek y mentionna aussi le programme Game Garage de l’incubateur turque Starters Hub, le plus gros centre d’incubation dédié aux jeux vidéo en Turquie et en MENA. Ce programme propose 20 000$ d’investissement en amorçage pour chaque startup acceptée.

Résultat de recherche d'images pour "Le Maroc et la Tunisie se font remarquer aux MENA Games à Beyrouth"

« Nous avons lancé [Game Garage] parce que nous savions que les centres d’incubation ne pouvaient pas devenir rentable sur le court terme, il explique. Ils aident définitivement l’écosystème mais nous avons besoin de croissance plus rapide. »
Barış Özistek a recommandé aux incubateurs de « dépenser de l'argent sur le design et l'espace du centre car c'est ce qui attire les mentors. » 

« Les startups vont toujours être là mais les bons mentors sont [difficiles] » explique Barış Özistek.

La scène gaming grandit en Tunisie

Les startups tunisiennes étaient aussi présentes en masse. The Tunisian Game Developers (TGD), Digital Mania et Nuked Cockroach ont notamment pris la parole lors de panels et ateliers.

De nombreux efforts et initiatives sont en train de se développer en Tunisie, comme la TGD, une association fondée en 2012 par 15 passionnés, et le concours Global Jam Tunisia, qui vu passer un nombre grandissant de développeurs de jeux vidéo depuis 2013.

Résultat de recherche d'images pour "Le Maroc et la Tunisie se font remarquer aux MENA Games à Beyrouth"

Mais tous ces entrepreneurs rencontrent le même problème : le manque de formation universitaire au développement de jeux vidéo, ainsi que le manque d’originalité dans les idées. 

« Vous devez localiser le contenu, les personnages et l’environnement car cela fait réagir les joueurs et leur permet de se reconnaître dans les personnages » explique Walid Sultan Midani, PDG de Digital Mania, qui a tenu un atelier sur l’expérience de la réalité virtuelle (VR) lors de l’événement.

Le paiement en ligne, un problème majeur en région MENA

Dans une région où une grande partie de la population préfère toujours payer en liquide, la monétisation des jeux vidéo est un vrai défi. 

« La taux de pénétration des cartes de crédit dans les pays émergents est autour de 5% » explique le fondateur et PDG de Paymentwall, Honor Gunday. « Cela laisse 95% de personnes qui bataillent pour payer des services [en ligne]. »

« [Les boutiques de] Google et Apple ne peuvent pas résoudre ce problème de monétisation » continue Tim Werner, le directeur général de l’entreprise de paiement dans les pays émergents PrimeiroPay. Sur plusieurs marchés, les internautes ne peuvent accéder aux stores que pour télécharger des jeux gratuits.

Les Egyptiens de TPay utilisent depuis 2014 la méthode de la "facturation directe par l’opérateur" à travers de laquelle les achats de jeux sont ajouté à la facture téléphone du client. « Le taux de conversion est 5 à 10 fois plus élevé que par carte de crédit » explique Sahar Salama, le directeur général de TPay.

L’histoire intéressante du gaming au Maroc

La première entreprise de jeux vidéo en région MENA était l’entreprise française Ubisoft, qui avait choisi d’ouvrir un bureau au Maroc en 1998, le Maroc étant un marché francophone et une porte d’entrée vers un public arabophone.

Evalué à 38 millions de dollars, le marché du gaming au Maroc est le sixième plus gros marché en Afrique, rappelle Yassine Arif, le PDG de Moroccan Game Developers lors d’un atelier.

Le premier jeu développé par Ubisoft Casablanca, la version N64 de Donald Duck: Goin' Quaker, fut un succès. Les dix années suivantes, le studio marocain participa au développement 26 jeux et ouvra un campus à Casablanca pour enseigner la conception de jeu. « Ils voulaient créer une nouvelle génération de développeurs marocains qui seraient en mesure de faire des jeux de haut niveau » explique Yassine Arif. 

Le campus, qui n’avait pas de nom officiel, organisait des formations d’un an à destination des étudiants. L’objectif était de former 300 étudiants gratuitement. « C’était très dur, les standard étaient les mêmes que dans les universités américaines » se rappelle Yassine qui y avait étudié à l’époque.

La crise financière de 2008 conduit Ubisoft à fermer le campus. Confronté à des profits en baisse, Ubisoft concentra ses moyens sur ses bureaux à Montréal.

« Tout s’était effondré, explique Yassine Arif. Nous avons dû recommencer à zéro. »

Même si UbiSoft Casablanca est toujours ouvert, la crise affecta Yassine, à tel point qu’il décida de lancer son association. The Moroccan Game Developers a maintenant 3 000 membres dont une partie se forme à la création de jeux vidéo et au design. « Nous voulons ouvrir une école et nous préparons un business plan pour cela » dévoile Yassine.

Data intelligence, un outil crucial pour les développeurs de jeux mobiles

On parle de data intelligence quand une entreprise collecte et analyse des données pour en tirer des informations utiles à son fonctionnement que ce soit sur ses concurrents, ses ventes et ses prédictions de performance.

Lors de son talk, Anders Lykke, le responsable des ventes chez Priori Data en Allemagne, identifia 5 traits de caractères communs aux développeurs de jeux vidéo talentueux. L’un d’entre eux était l’utilisation de la data intelligence comme outil pour comparer les performances et suivre les progrès.

« Les développeurs de jeux vidéo talentueux ont un bon système de data intelligence. Ils donnent à leurs employés plus de pouvoir en leur donnant accès à ces outils. Vous ne pouvez pas améliorer quelque chose si vous ne le mesurez pas » explique Anders Lykke.

L’analyse de l’information est aussi importante pour suivre les performances de ces concurrents et ainsi comparer les siennes.

« Vous devez être capable de répondre à des questions spécifiques comme : de combien de téléchargements ais-je besoin pour obtenir un bon classement sur l’ App Store ? »

Résultat de recherche d'images pour "Le Maroc et la Tunisie se font remarquer aux MENA Games à Beyrouth"

L’Iran et l’Arabie Saoudite sont aussi à suivre

L’Arabie Saoudite et l’Iran, bien que plutôt fermés, sont des gros marchés pour les développeurs de jeux vidéos. 

Le marché des PC et des consoles en Iran vaut approximativement 167 millions de dollars et celui de l’Arabie 202 millions. Les Saoudiens payent pour 13% de leurs téléchargements et les Iraniens pour 34%, selon une étude du managing partner de Gameguise, Amir-Esmaeil Bozorgzadeh.

Lors de son atelier sur les marchés saoudiens et iraniens, Bozorgzadeh pointa du doigt un problème majeur en Iran : l’Iran manque de distributeurs officiels accrédités par l’ESRA (The Entertainment Software Rating Association in Iran), ce qui laisse de la place au piratage. Néanmoins, le marché semble être prêt pour un changement, 60% des gamers ont utilisé le système de paiementShetab quand il est devenu disponible aux e-commerces.

Quant au marché saoudien, il semble réceptif aux produits étrangers, preuve en est la moitié des gamers saoudiens n’utilisent pas les app stores du Moyen-Orient mais celui des Etats-Unis.

Amir-Esmaeil Bozorgzadeh a un conseil pour les éditeurs de jeux cherchant à se développer sur ces marchés : « Ne vous embêtez pas à localiser votre contenu en Arabie, lancez en anglais et assurez-vous d’avoir des creative assets en arabe. »

Résultat de recherche d'images pour "Le Maroc et la Tunisie se font remarquer aux MENA Games à Beyrouth"

L’anglais est la langue dominante
Même au Moyen-Orient, Michele Baratelli de la maison d’édition Gameloft, recommande de se lancer en anglais, surtout si vous n’avez pas d’énormes ressources.

« Si vous êtes en MENA, il peut-être bien de privilégier l’arabe mais l’anglais est bien aussi » explique t-il. Gameloft publie ses jeux en 15 langues, dont l’arabe. Pour Michele Baratelli le choix de la langue se fait vraiment au cas par cas mais l’anglais n’est jamais un mauvais choix. Quant à eux, ils publient tous leurs jeux en arabe.

Wajdi Azar, le PDG de 3dotsgames en Jordanie, a expliqué à Wamda qu’ils ne choisissent l’anglais que pour certains de leurs jeux. « Le monde est plus grand le MENA » justifie t-il.

Le développement de jeux, un projet parallèle pour beaucoup

Ce n’est pas spécifique à la région MENA mais il est très intéressant de noter quel les développeurs de jeux sont tellement passionnés qu’ils le font à côté de leur emploi.

Bug Games de Jordanie est un projet de Danar Dayfi et Mohammad Dmour. Danar Dayfi enseigne la programmation de jeux vidéo et étudie pour obtenir un MSc tandis que Mohammad Dmour est un programmeur travaillant pour un ministère. Ils travaillent sur leur jeu ‘Switch Jump’ en soirée. « Vous ne pouvez pas prévoir ce qui sera un tube » explique Danar Dayfi, ce qui explique son incapacité à quitter son emploi à temps plein actuel. 

Par Maysaa Ajjan - Source de l'article Wamda

mardi 19 avril 2016

Competitive gaming in South Africa at a crossroads

The state of competitive gaming in South Africa finds itself at a crossroads. This is according to South African eSports team manager Ryan Boyes.

Résultat de recherche d'images pour "South African eSports"Boyes told MyGaming that competitive gaming is seeing increased prize-money from marketing companies for competitive gaming events.

There is also basic development done to improve the standard of eSports by organizations like the MSSA.

“However, while the prize-money offered may tempt many gamers, the prize-money does not improve standards, nor does it help to grow eSports as a sport,” said Boyes.

He explained that one just has to look at the performance of South Africa’s “professional teams” to see how woefully short they fall of international standards.

“On the other hand, the national teams who represent South Africa with pride are currently ranked by IeSF as being 12th in the world,” said Boyes.

Unless there is a general growth at grass-roots level, said Boyes, there will never be a sustainable growth in both numbers and standard in gaming in South Africa.
Afficher l'image d'origine

“Thus the growth in competitive gaming in official structures is improving on a year-to-year basis, whereas the standard among the non-accredited organisations seems to be floundering,” said Boyes.
South Africa versus global standards

Boyes said that, compared to the international scene, South Africa has a long way to go.

“Unfortunately, we are cut off from the rest of the world competitively, due to distance and ping,” Boyes said.

“This means it’s difficult for players to get experience from a wider pool of players, like in Europe for example.”

“We are in the situation where, in most games, we have isolated ourselves to local servers instead of international servers due to high pings.”

He said that countries like Sweden, Finland and Denmark are close enough that they can play against each other without latency concerns.

“This in turn fuels rivalry and competitiveness between countries and players, which pushes players to work harder. This means the skills of players are better,” he said.

Original source Mygaming