mardi 16 juin 2015

L'Arabe du futur 2 : déjà un succès en librairies

Fortes du succès fracassant du premier tome, les éditions Allary ont misé fort et livré, chez les détaillants, 75.000 exemplaires du second volet de la bande dessinée autobiographique signée Riad Sattouf.

Résultat de recherche d'images pour "L'Arabe du futur 2"Une farandole de chiffres impressionnante. Plus de 200.000 exemplaires vendus pour le premier tome, L'Arabe du futur, l'excellente bande dessinée autobiographique de Riad Sattouf. Le second tome des aventures du petit Riad, âgé de six ans et blond comme les blés en Syrie semble s'engager sur la même voie du succès fracassant: «Certains avaient même pris la précaution de réserver un ouvrage auprès de leur libraire», peut-on lire sur le site de France24.

Fortes du premier triomphe, les éditions Allary publiant la saga prévue en quatre tomes, n'ont pas lésiné sur les moyens. Avec 75.000 ouvrages envoyés en librairies, elles ont misé gros anticipant un futur même succès: «C'est une mise en place très forte», souligne-t-on du côté de l'éditeur. En outre, 15.000 albums supplémentaires ont été imprimés pour accompagner la suite des aventures franco-syriennes de son auteur.

Pour mémoire, il s'agit de l'histoire d'un enfant des années 1980, de père syrien et de mère bretonne, qui grandit entre la Libye de Kadhafi et la Syrie d'el-Assad. Loin des clichés, des préjugés moraux et des dogmes diplomatiques, Riad Sattouf raconte, dans cet album, son quotidien d'enfant. Dans ce deuxième tome, on y retrouve le petit Riad qui vit avec ses parents près de Homs, dans le village de Ter Maaleh, en Syrie.

L'album couvre sa première année d'école en Syrie. Maîtresse martyrisant les élèves avec un bâton, rapports conflictuels avec ses petits camarades dans la cour de récréation ou insultes liées à la blondeur de sa chevelure... L'apprentissage n'est pas de tout repos pour notre héros.

L'Arabe du futur, tome 2. Une jeunesse au Moyen-Orient (1984-1985), de Riad Sattouf. Allary Editions, 20,90 euros.

Source de l'article le Figaro

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